A 28 ans, Eglantine part pour Klervi, le village breton de son enfance pour hériter d’une boulangerie-pâtisserie suite au décès de son père.

Elle n’a qu’une idée en tête : vendre au plus vite cet héritage encombrant venu d’un homme qu’elle n’a pas vu depuis 20 ans.

Mais voilà, en sortant de chez le notaire, la jeune femme a raté le dernier train pour rentrer chez elle. Et en plus… il pleut. Plus qu’une solution, se réfugier dans la partie habitation de la boulangerie.

Sur le chemin, elle va croiser Marronde sa tante mutique qui a toujours son sale caractère et Gaël son amour de jeunesse qu’elle n’a jamais oublié.

Et surtout, elle va trouver un trésor dans le grenier : un carnet qui servait à la fois de journal intime et livre de recettes boulangerie / pâtisserie de son père.

Tous ses éléments vont faire réfléchir Eglantine : son bonheur ne passerait-il pas par un changement radical de sa vie actuelle.

Cette BD s’appelle « les jours sucrés » et elle porte très bien son nom : un vrai petit bonbon de bonheur.